Des couloirs infinis de glace et de marbre
Un froid qui brûle, un froid qui détruit
Le soleil se cabre
Nos pas se suivent dans la neige
Sur la grand-roue, dans les manèges
Tout au long de la vie, un œil invisible
Que l'on soit l'aigle ou le colibri: on reste la cible
Nos pas se suivent dans la neige
Nos cœurs se taillent, nos corps se piègent
Communément on le recense sous le nom de l'amour
Communément on le ressent mieux la nuit que le jour
Mieux la nuit que le jour
Des couloirs infinis, peu de feuilles aux arbres
Des flocons tombent au ralenti
Le soleil se sabre
Nos pas se suivent dans la plaine
Lorsque trop loin nos corps se plaignent
Tout au long de la vie
La tournée des lacs
Des bras de mères de quelques taudis
Sont remis à sac
Nos pas se suivront dans la tombe
Viens on s'envole, vas-y on tombe
Communément on le recense sous le nom de l’amour
Communément on le ressent mieux la nuit que le jour
Mieux la nuit que le jour
Mieux la nuit que le jour
Est-ce que nos instants d’extase laisseront des traces
Ou n'restent que les remords et l'amertume après la fonte des glaces?
Avec le temps les sentiments les plus profonds s'effacent
On joue nos rôles du mieux possible, un jour on tombe les masques
Interroge l’avenir, sonde les astres
Peu d’options: relations néfastes, nos passions trépassent
Si l’amour est dans l’air j'fais d'l'asthme
Ne regrette pas les spasmes
Les vibrations, l’excitation, les nuits d’action
Le ciel est gris, les anges pleurent
Les nouvelles déceptions feront les vieilles rancœurs
La routine, les sales manies, les mauvaises habitudes prennent de l’ampleur
Ton quotidien cohabite mal avec mes rêves de branleur
Trop d'menaces pour un seul couple de maîtres-chanteurs
Les mêmes disputes et j'discute avec le sampleur
Ne regrette pas les fresques, l’apogée, la beauté du geste
Ne regrette pas l’effort, les chasses au trésor
Des couloirs infinis de glace et de marbre
Un froid qui brûle, un froid qui détruit
Le soleil se cabre
Nos pas se suivent dans la neige
Sur la grand-roue, dans les manèges
Interroge l’avenir, sonde les astres
Peu d’options: relations néfastes, nos passions trépassent
Si l’amour est dans l’air j'fais d'l'asthme
Ne regrette pas les spasmes
Les vibrations, l’excitation, les nuits d’action
Le ciel est gris, les anges pleurent
Les nouvelles déceptions feront les vieilles rancœurs
La routine, les sales manies, les mauvaises habitudes prennent de l’ampleur
Ton quotidien cohabite mal avec mes rêves de branleur
Trop d'menaces pour un seul couple de maîtres-chanteurs
Les mêmes disputes et j'discute avec le sampleur
Et j'discute avec le sampleur
Et j'discute avec le sampleur
Et j'discute avec le sampleur
Et j'discute avec le sampleur