(Daniel Seff/Richard Seff)
Je t'avais promis des vacances ensoleillées auprès de moi, je sais
Des matins d'azur et le parfum des vergers
Que les vents dans le soir viennent nous apporter.
Mais depuis trois jours, la pluie tombe sans arrêt
Sur les toits et les champs.
On a fait du feu dans la grande cheminée
Et l'on attend encore que vienne le beau temps.
Quand la pluie finira de tomber, nous pourrons enfin aller marcher
Sous les grands marronniers, là-bas, à l'ombre d'un verger, le soir.
Quand la pluie finira de tomber, nous pourrons aller nous promener
Dans les grands champs de blé, là-bas
Et l'on pourra s'aimer tous les deux, bien cachés
Dans les herbes mouillées et les fleurs de l'été.
La maison est triste depuis qu'il n'y rentre plus un rayon de soleil.
Derrière les vitres, on regarde dans la rue
Et même les jardins semblent porter le deuil.
Alors, je te parle de ces pays merveilleux où il n'y a pas de pluie
Les plages de sable où le ciel est toujours bleu
Et l'on attends encore que vienne une éclaircie.
Quand la pluie finira de tomber, nous pourrons enfin aller marcher
Sous les grands marronniers, là-bas, à l'ombre d'un verger, le soir.
Quand la pluie finira de tomber, nous pourrons aller nous promener
Dans les grands champs de blé, là-bas
Et l'on pourra s'aimer tous les deux, bien cachés
Dans les herbes mouillées et les fleurs de l'été.
Oui, quand la pluie finira de tomber, nous pourrons enfin aller marcher
Sous les grands marronniers, là-bas, à l'ombre d'un verger, le soir.
Quand la pluie finira de tomber, nous pourrons aller nous promener
Dans les grands champs de blé, là-bas
Et l'on pourra s'aimer, la la la la la la la la la.
La la la la la la la la la, la la la la la la la la la.