Suffoque ! Oppresse !
La réalité n'est plus mienne !
La réalité n'est plus mienne,
Comme tu parais malade
Et immensément ridicule,
Derrière tes micro-bulles.
Suffoque ! Oppresse !
L'Arbre qui transforme et déforme chaque matière
SATAN
Le gigantesque Arbre aux milliers de branches,
SATAN
SATAN
Le sale Rôdeur, ainsi qu'on le nomme,
L'imperturbable ordre du chaos,
Semble s'affoler dans un chaos, une incompréhension,
Que pourtant personne ne semble deviner.
Le chaos, l'incompréhension,
Que pourtant personne ne semble deviner.
La réalité n'est plus mienne.
Comme tu parais malade
Et immensément ridicule derrière tes micro-bulles !
Comme je parais malade et minuscule.
Ondulations imperceptibles, incomplet,
Flash ! Aveugle ! Étouffement, la maladie !
Errance, horreur, rancœur !
Errance, Horreur, Distance, Rancœur
Je me suis égaré, sur le sentier,
De l'Arbre, SATAN !
Marchant vers l'arrière, et reculant vers l'inconnu futur.
Chaque connaissance acquise, XXX
Mais la couleur exquise de l'éternelle solitude
Attise des douleurs jouissives quand le scalpel racle la gueule humide.
Seule la souffrance me fais XXX
Mon front ainsi maculé
Je ne peux que hurler ma haine, et pleurer ma joie.
Mon incapacité à vous côtoyer
Les font pré-maturer, les font de plus en plus puissantes.
La réalité n'est plus mienne.
Comme je me parais malade,
Et immensément ridicule derrière mes micro-bulles
Comme JE parais malade et minuscule
Comme vous paraissez malades,
Noyés dans ce magma.
Malade.
Je ferai tomber la foudre sur vos craintes !
Je ferai pleuvoir le sperme sur vos idées internissables.
Le plaisir et le feu !
Je veux durer !